En Afrique, le phénomène des mariages d’enfants présente ceci de complexe qu’il tire ses fondements de certaines croyances socio-culturelles, et même parfois religieuses.
Au Sénégal, plus de 26% de jeunes filles sont victimes de mariages précoces.
Toutefois, cette tendance aussi alarmante soit elle, Mme Diégui Diop FALL compte se donner les moyens de l’inverser, afin de la ramener sous la barre des 20% à l’horizon 2035.
C’est tout le sens de l’atelier de validation du plan d’actions national pour l’abandon des mariages d’enfants au Sénégal, organisé par la Direction de la Promotion des Droits et de la Protection des Enfants (DPDPE), avec le soutien de plusieurs partenaires engagés dans ce combat aux côtés du gouvernement du Sénégal.
« C’est un combat que l’on doit mener. C’est un combat de sensibilisation, c’est un combat de communication que nous ne cesseront de mener envers la population sénégalaise dans l’intérêt supérieur des enfants du Sénégal », a soutenu Mme Diégui Diop FALL, la patronne de la DPDPE.
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