Désormais, chaque bénéficiaire n’aura droit qu’à une seule voiture, en dehors des ministres qui en auront un deuxième dit « véhicule de servitude ».
La dotation en carburant ne dépassera pas 500 litres, avec une moyenne de 10 litres par jour.
Seuls les chauffeurs de l’administration seront autorisés à conduire les véhicules administratifs qui seront dotés, obligatoirement, de carnet de bord.
Mieux, ils ne pourront plus être conduits en dehors des jours et heures de travail sans ordre de mission et laisser-passer.
Outre les sanctions pénales, le nouveau décret, parcouru par Les Échos, prévoit des sanctions administratives et pécuniaires.