L’avocat invite le leader du Pastef à faire «attention à la justice et à la fabrication des faits».
Ses soupçons sont sous-tendus par le fait que le régime en place cherche à mettre en relief le fait qu’à un moment du massage, la seconde masseuse est sortie un moment. Cherchant, selon lui, à travers cet élément, à semer le doute dans la tête des Sénégalais.
L’avocat d’indiquer, pour étayer son propos, que dans l’affaire imam Ndao (accusé de terrorisme) les enquêteurs avaient fabriqué des faits et quand la défense a demandé de les entendre à la barre, le procureur de la République s’y était opposé.