Sur les faits présumés de viol, il a confié aux gendarmes, dans des propos repris par L’Observateur, qu’il était dans la maison pendant la séance de massage.
Mais, précise-t-il, il n’a rien entendu qui pourrait expliquer qu’une personne se faisait violer à quelques mètres.
Même son de cloche chez la deuxième masseuse, Mama Bâ, qui a aussi été auditionnée par les pandores.
Elle a confié qu’elle n’a pas entendu de cri ni d’appel au secours d’Adji Sarr, l’accusatrice de Sonko.
Sur les présumés faits de viol, elle soutient qu’elle n’en sait rien.