C’est ce qu’a fait savoir le commissaire de police Mandjibou Lèye dans les colonnes de «Walf Quotidien».
«La prolifération des points de transfert d’argent est un vecteur de vulnérabilité que des gens malintentionnés pourraient utiliser pour contribuer au financement du terrorisme», a fait savoir le patron du commissariat central de Mbour, lors de la conférence régionale sur le terrorisme.
Mandjibou Lèye d’ajouter : «Ces plateformes de transfert d’argent n’ont pas de système de surveillance intégré pour remonter les informations. Elles n’ont même pas de vidéosurveillances qui permettent aux enquêteurs de retracer l’itinéraire et l’identité des personnes.»