selon Les Échos, l’audience a été renvoyée au motif que « l’insulteur public numéro 1 » n’a pas été cité.
Assane Diouf compte retourner à la Cour de justice de la CEDEAO qui avait constaté la violation de ses droits et condamné l’État du Sénégal à lui payer 20 millions Fcfa en guise d’indemnisation.
Mais, selon son avocat, Me Ciré Clédor Ly, dont les propos sont rapportés par le journal dans sa livraison de ce mercredi, l’État du Sénégal ne veut pas payer cette somme à son client.