Zinédine Zidane fait son retour sur le banc du Real Madrid, qui a souffert depuis son départ en mai dernier, comme il souffrait avant sa première nomination. Un contraste saisissant, illustré en statistiques.
Certes, Cristiano Ronaldo a rejoint la Juventus cet été, et le Real Madrid a perdu, avec le départ du Portugais, son arme offensive numéro 1. Mais CR7 était bien là lors du passage de Rafael Benitez à la tête de l’équipe merengue, et la durée d’exercice de l’Espagnol, évincé le 4 janvier 2016, n’avait pas excédé les cinq mois de compétition. Intronisé en remplacement de Benitez, Zinédine Zidane, après y être parvenu comme joueur, a laissé une trace indélébile en tant que technicien au sein de la Maison Blanche, de janvier 2016 à la fin mai 2018.
En terme de palmarès, déjà, du haut de ses trois Ligue des champions enlevées consécutivement (2016, 2017, 2018) et de la Liga remportée en 2017. Mais pas seulement. Car, et c’est logique, le Français affiche un bilan comptable impressionnant avec le Real. Des statistiques qui contrastent avec celles de son prédécesseur comme avec celles de Julen Lopetegui et Santiago Solari, qui lui ont un temps succédé. Car l’Espagnol et l’Argentin, victime d’une terrible sortie de route en Ligue des champions, n’ont pas duré bien longtemps sur le banc merengue. Conséquence : ce mardi, c’est le Français qui dirigera de nouveau…
La Rédaction