A l’occasion de la commémoration de la fête du travail 2018, les travailleurs de Gaoua se sont retrouvés sous les manguiers des funérailles du secteur 4 qui leur sert habituellement de piquet de grève.
A l’instar des travailleurs des autres villes du Burkina, ceux de Gaoua se sont retrouvés également à travers quelques activités. Au nombre de ces activités on peut retenir l’assemblée générale, la conférence publique et des jeux de société. Pour ce qu’on peut retenir essentiellement à Gaoua, il n’y pas eu de marche, ni de remise de doléances. L’occasion a été toute trouvée pour les travailleurs réunis au sein de l’Unité d’Action Syndicale a l’échelle de la province du Poni d’organiser une assemblée générale.
Assemblée générale qui a permis d’expliquer aux travailleurs le choix de ne pas organiser de marche ni de remise de doléances cette année. Pour le secrétaire provincial de l’Unité d’Action Syndicale du Poni, Badesser DABIRE, « il est temps de rompre avec cette démarche, de chaque fois aller remettre des cahiers de doléances aux autorités et que par la suite, rien n’en ressort ». Les responsables syndicaux ont prévu de se concerter afin de rencontrer l’autorité provinciale dans les jours à venir sur les douze points de revendication qui ont été inscrits en 2017. L’autre temps fort de la journée a été la conférence publique sur le thème Syndicalisme et conscience professionnelle.
Assemblée générale qui a permis d’expliquer aux travailleurs le choix de ne pas organiser de marche ni de remise de doléances cette année. Pour le secrétaire provincial de l’Unité d’Action Syndicale du Poni, Badesser DABIRE, « il est temps de rompre avec cette démarche, de chaque fois aller remettre des cahiers de doléances aux autorités et que par la suite, rien n’en ressort ». Les responsables syndicaux ont prévu de se concerter afin de rencontrer l’autorité provinciale dans les jours à venir sur les douze points de revendication qui ont été inscrits en 2017. L’autre temps fort de la journée a été la conférence publique sur le thème Syndicalisme et conscience professionnelle.
Lefaso.net