Dakarmidi – Henriette Barboza, ancienne mannequin, dans un entretien accordé à l’Observateur, revient sur son ancienne vie de mannequin, de sa reconversion et de son divorce avec Seydina, le fils de Cheikh Bethio Thioune.
L’ancienne égérie des planches revient sur sa vie post-mannequinat, » J’ai raccroché mes talons pour me consacrer à mes propres affaires, je vais ouvrir des boutiques portant sur le commerce en tout genre. Actuellement c’est en état de projet, mais je crois que cela va bientôt aboutir sur du concret. Parce que j’ai pas mal voyagé dans ce cadre et acquis une certaine expérience ».
Pour Henriette,elle a arrêté le mannequinat car les cachets ne peuvent pas faire vivre récemment et il fallait viser plus haut. » J’ai décidé d’être plus ambitieuse, de m’investir dans un autre secteur plus à même de m’apporter gros. En plus je dirai que c’est un métier éphémère et je commençais à prendre de l’âge », souligne t-elle. Le mannequinat ne lui a apporté pas grand chose, car une fois devant la scène, les mannequins n’ont plus de vie, les gestes et faits sont épiés et là plus droit à l’erreur. Ajouté au fait qu’elles sont cataloguées de filles de moeurs légères.
À comparer son ancienne vie de mannequin et celle d’aujourd’hui, miss Barboza préfère largement celle d’aujourd’hui, car elle est beaucoup plus posée et stable.
Revenant sur son divorce avec le fils de Cheikh Bethio Thione, Seydina, elle fait savoir que comme pratiquement tous les couples, le sien avait des problèmes mais qui étaient insurmontables et qui a aboutit au divorce malgré elle. Pour les gens qui disent qu’elle été motivée par l’appât de gain,elle répond par ces mots, » dans toutes mes relations je n’ai jamais été motivée par l’argent. Je préfère avoir une stabilité dans mon couple, une entente avec mon conjoint,le reste n’est que bonus ».
Actuellement dans une nouvelle relation, Henriette Barboza compte bel et bien se remarier. » Mon petit ami me comble et si on doit se marier, cela se fera. C’est un homme très efface, il n’habite pas au Sénégal ».
La rédaction