Dakarmidi – En partenariat avec le ministre de l’Emploi, le mouvement des entreprises du Sénégal(MEDS) a organisé la 17e me édition du forum du Premier Emploi.
Placé sous le thème de « Haute intensité des mains d’œuvre et emploi vert », ce forum a pour but d’accompagner les jeunes diplômés pour leur insertion dans le monde du travail.
De ce fait, Mbagnick Diop, le Président du MEDS et le ministre de l’Emploi, ont conclu un nouveau partenariat. « Ce nouveau format n’est que le reflet de la volonté du gouvernement et de son secteur privé à apporter des solutions concrètes à la problématisation de l’emploi des jeunes et de la pauvreté au Sénégal. » a dit M Diop
Pour y arriver, le Président du MEDS espère qu’« Ensemble le ministre de l’Emploi et le MEDS pourront aisément relever le défi de l’organisation de ce forum, mais aussi et surtout fixeront à l’issue de ces deux jours de travail, une nouvelle dynamique d’appuie de d’accompagnement des jeunes pour un emploi salarié ou un auto partenariat »
Présidant cette rencontre, le premier ministre Mouhamat Boun Abdallah Dione, a souligné que « le chômage est entrain de ronger la jeunesse du monde, parce que c’est un problème global. Aux Etats-Unis le chômage est entrain de ronger la jeunesse comme il le fait en Allemagne, en France, en Gambie, au Sénégal en Mauritanie au Japon, partout.
Parce que justifie-t-il « notre population double tous les 25ans et c’est vrai. On était autour de 03 millions en 1960, 25 ans après on était 7 millions. 25 après, en 2010 on était 14 millions. Et dans 25 ans, on sera vers 30 millions. Est-ce que nos richesses doublent tous les 25 ans ? Cela n’est pas le cas. Est-ce que nos capacités productives ont doublé chaque lot de 25 ans ? Non !
Pour le Chef du gouvernement, Il nous faut migrer et notre capacité productive est également le potentiel de capitale humain vers d’avantage et de secteur qui soient des secteurs a plus fortes productivités. C’est cela la marche vers l’émergence.
Poursuivant, le premier ministre dit « l’ambition du chef de l’Etat c’est d’arriver en 2035 justement, à une économie émergente et plein d’emploi et c’est cela le challenge du pays aujourd’hui ».
La rédaction